Salut l'ami comment allez vous ?
Je suis en manque de temps pour me co sur le net régulièrement mais j'ai put taper une partie de mes textes sur l'ordi. Je voulais savoir ce que vous en pensiez?
L'histoire se passe dans l'univers Battle comme tu poura t'en douté et c'est le début d'une série de nouvelles se basant sur un gang de mercenaires...
La place du marché de Kleinburg résonnait du remue-ménage et du brouhaha du marché matinal. Les chariots, les étales et a bras s’étendaient sur tout l’espace circulaire. Des gens se pressaient, se bousculaient pour ne pas marcher dans les flaques de boues et continuer leur achats. L’air était empli de l’odeur des légumes frais, de la viande rôti, de la bière, des beuglements des bêtes et des cris des vendeurs
La porte de Coin des Compagnons s’ouvrit avec fracas , laissant entré le tumulte de marché, ce qui attira à peine le regard des habitués de l’endroit.
La silhouette qui apparut dans l’entrée était celle d’un jeune homme blond, dont la beauté des traits était évidente, malgré la crasse sur son visage et ses vêtements rapiécés. Entrant à grands pas dans la taverne, il referma la porte du pied, ses mains étant encombrés par deux larges pains et quelques pommes.
- Une bien belle poursuite, lâcha t-il en reprenant son souffle, tandis qu’il déposait son butin sur le comptoir et remettait une mèche épaisse en place.
- As-tu vraiment besoin de piller les honnêtes villageois Erik ? Marmonna l’un des clients attablés dans la salle a manger.
C’était un homme entre deux ages, occupé à tailler un bout de bois avec une dague. Ses vêtements pourpres recouverts par une plaque pectorale étaient usés mais gardaient un aspect pompeux .
- Oh Leucar ! Tu es de retour !
- Oui, et il n’est pas seul ! reprit une voix rauque et enjoué.
La remarque était celle d’un nain, qui n’atteignait pas le mètre cinquante mais qui était toutefois plus large d’épaules qu’un homme nain adulte. Son visage de roc se perdait dans les volutes de sa barbe poivre et sel d’ou un nez protubérant et des yeux vert émeraudes surgissaient.
Le nain porta une chope de bière à ses lèvres et engloutit bruyamment une longue gorgé. Dans on rôt de contentement, il flanqua la chope sur la table et glissa de sa chaise pour s’avancer vers le jeune voleur.